4 avril 2014
« Le vent souffle sur la plaine. Le sang coule,
« Le vent souffle sur la plaine. Le sang coule, imbibant la terre de son fer, de sa puissance meurtrière. » Dans la douceur crépusculaire, le désespoir déclencha la colère de la bête. Il lui fallait mordre. Il lui fallait assouvir sa peine... partout...